• Au paravent des mots
    Il est si facile d'écrire derrière
    Ce que l'on ne sait dire devant
    A chacun sa poésie
    De mime sans face
    On fait sa frime
    Mais rien n'est beau
    Sous le voile de la défiance ...

     

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  • Tu caches sous le tapis
    Le meilleur de tes amis
    Toujours plus apte à sortir
    De tes tripes la souffrance
    Plutôt que l'amour de ton coeur
    Tu deviens une mauvaise ménagère
    Qui ménage la rémanente poussière ...

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  • Seul, sur le chemin

    Depuis l'ombre de vie

    Je regarde le ciel,

    La terre, l'eau, les oiseaux,

    Et je regarde les hommes

    Leur terre, leurs maux,

    Leurs corbeaux,

    Je ne suis jamais à l'heure

    Au train de leur temps ...

    Seul, sur le quai

    Je m'égare au hasard

    Sans jamais siffler gare

    Aux vents, ni aux mouettes

    De leurs cruelles tempêtes,

    Aux salissures de rumeurs

    En abysses et plats fonds

    De crimes et illusions...

    Je sens soleil, pluie et vent,

    Brûlure de la lumière,

    Et morsures de l'ombre...

    Mais il y a un endroit

    Où je puise être moi

    O2LA, au-delà de toi

    Mort né chemin défunt ...

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  • Je vous ai tout laissé
    Tout abandonné
    Vous avez tout dévoré
    Avides de ma vie ...
    Mon coeur vous l'avez pris
    Mais mon âme de malappris
    Vous ne l'acceptez pas
    Bien trop épris
    Que vous êtes
    De vos âmes de cons vertis ...
    Mais viendra
    Le jour sacré
    Où vous ne pourrez
    Plus vous nourrir
    Que de sous venirs ...
    Et ce jour là
    Je serai libéré
    De vos insultes
    De vos jugements
    Et de vos envies,
    Au parfum de mort
    En prime de désaccord
    Au service de la peur..

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  • Je ne serai plus là

    Pour pleurer avec toi ...

    Je préfère le vide du trottoir

    Aux mensonges de ton rempart,

    Quand l'ami tue la rose

    Sur l'épine de sa prose

    Pour nourrir l'heure

    De sa propre terreur,

    La couvrir du linceul

    De la gloire d'être seul...

    Il n'est plus lieu d'être là

    A servir de décors

    Au théâtre de la mort

    D'un cruel acteur

    Avide de spectateurs ...

    Je n'ai pas besoin de leurres

    Pour connaître la peur

    De perdre par la mort

    L'être qui me rend fort,

    La faucheuse m'a trop pris

    Qui de mes larmes non assouvie...

    Je voulais juste un ami

    Mais c'est trop demander à la vie...

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