Je m'y mergerai dans là, faux lit
A la source de l'est-ce pris
Jeu plomb je, rai haut fond duc or
Le coût au-delà peur
A faim de fer battre le choeur
Eau delà deux l'âme hors
De tout ceux qu'aile à prix
Orée voeux de la vie
Aux six lances de l'un fini...

A l'automne des esprits, les idées volent et virevoltent emportées par un vent de liberté ... avant de retomber et reposer sous la couverture neigeuse d'un hiver glacé d'oubli... mais tant que reviendra le printemps, renaîtront et s'épanouiront celles qui auront été protégées et nourries par le rouge manteau d'une saison ...

A toi qui m'oublie si souvent:
Sais-tu bien ce que tu fais?

A toi qui me néglige:
Sais-tu bien ce que tu fais?

A toi qui me fait du mal:
Sais-tu bien ce que tu fais?

A toi qui y prend du plaisir:
Sais-tu bien ce que tu fais?

.......

Le mal que tu fais ne t'appartient pas, mais assurément il te sera rendu...

Couper la parole...

Ciseler le dix court...

Tailler une bave être...

Hacher menu l'au pignon...

Reséquer la vie d'autrui...

Sectionner la con diction...

Dépecer le pour et le contre...

Trancher dans le vif du sujet...

Tailler un brin de cause être...

Bas tailler pour sa con "viction"...

A trop donner

Sans réclamer

On nous prend tout.

Mais le pire, 

Le pire, 

Ce n'est pas ça...

A trop aimer

Sans rien attendre

On exige tout de nous.

Mais le pire, 

Le pire, 

Ce n'est pas ça...

A trop s'oublier

Sans jamais juger

On nous reproche tout.

Mais le pire, 

Le pire, 

Ce n'est pas ça...

A trop s'identifier

Sans avoir peur d'éprouver

On devient tous.

Mais le pire, 

Le pire, 

Ce n'est pas ça...

Le pire...

C'est, 

Qu'on n'est plus rien.

Et qu'il faut trouver

La force en ce rien

D'utiliser ce qu'il est,

Encore et encore...

Pour le tout...