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Par VasyZeroseth le 25 Juin 2011 à 15:51
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Par VasyZeroseth le 25 Juin 2011 à 15:45
Jamais la violence d’une tempête
Ne fut plus forte que cette nuit là.
Et pourtant, rien ne put être détruit,
Car plus rien n’était.
Les vents n’avaient plus une seule branche à arracher,
Ni même un grain de poussière à avaler.
Les pluies déferlaient,
Ne pouvant que déferler.
Plus aucun ruisseau n’existait
A changer en torrent meurtrier.
Les gouttes se fondaient une à une
Dans l’immensité d’un désert sans limite.
Semblant insatisfaits de leur impuissance,
Les éléments se déchaînaient,
S'entre-déchirant, se disloquant.
Les rafales d’air et d’eau se livraient
A un duel sans merci ;
Méprisant ou ignorant
Leurs qualités mutuelles,
Qui, avec la douce chaleur du soleil,
Auraient pu faire renaître un nouveau monde.
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Par VasyZeroseth le 25 Juin 2011 à 15:44
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Par VasyZeroseth le 25 Juin 2011 à 14:13
Que sont-ils devenus
Les joyeux lutins d’autrefois ?
Il ne reste plus
Qu’un vieil ermite rompu.
Le cœur sans joie
Et l’esprit déçu,
D’une main griffue
Il s’agrippe à la paroi
De sa conscience.
De son âme, le temps
Est le triste berceau trompeur,
Qui, tout doucement,
A chassé les sentiments
Nés de son cœur.
Et dans le tourment
De son esprit lent
Le malheur et le bonheur
Se sont rencontrés.
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Par VasyZeroseth le 25 Juin 2011 à 14:09
Soyez cléments
Braves gens!
Soyez cléments
Pour les enfants!
D’amour ont faims,
De sécurité ont besoins,
Prenez en soin
Jusqu’à la fin!
S’ils ont fauté
Vous souvenez
Du temps passé
Enfants vous étiez!
S’ils sont partis
C’est qu’ils ont fui,
Trop douillet le nid
Ou trop pourri!
S’ils sont nés
L’ont pas demandé,
Y retourner
Seraient pas fâchés!
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