• Mon cœur est noir de toute cette souffrance

    Tes accès de violence me font perdre connaissance

    Mon corps s'efforce de suivre la cadence

    Mon esprit te fuit et prie pour la délivrance

    Mon âme se rapproche de sa propre errance

    Reniant le désespoir et niant l'espérance

    La sève amour, de mon être l'essence

    Cherche les stigmates de sa naissance

    Fuyant les douves de la pénible tempérance

    Désertant les remparts de l'indifférence

    Pour les souterrains aux portes de la conscience...

    Vers le plus beau refuge qui soit, le silence...

     

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  • Les larmes ont coulé sur le papier,

    L’encre de la douleur

     A empreint ma plume

    De la couleur des mots

    Dont la force est de se défendre 

    D'une telle souffrance.

     

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  • Le vide, le vide encore, je ne peux qu'attendre...

    L'immensité de ma prison est telle que je n'en discerne pas les barreaux, 

    Et pourtant j'étouffe, l'air se raréfie...

    J'ai parcouru des distances infinies sur cette planète du silence, 

    En proie au vide déconcertant, oppressant...

    Je dois me préparer au grand voyage, le dernier...

    Attendre d'avoir la force et plonger dans le vide, 

    L’emplir de mon être et briser le silence...

     

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  • Aux frontières du non-choix

    Je suis née entre deux mondes,

    L'un où la haine existe,

    L'autre où l'amour n'est plus.

    Un fleuve les sépare

    Où se jettent en larmes de mots

    Les rivières du malheur,

    Entre les galets du désespoir

    Et les berges de l'indifférence.

     

    Mais du désert de ma réalité

    Est né un grand oiseau bleu

    De cette eau purifiée

    J'ai bu le merveilleux

    Au goût de liberté

    Il s'élève au-delà du scandaleux

    Porté aux alizés

    Vers le céleste équateur

    Des lumières du bonheur...

     

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  • L'O2LA n'a pas de limite

    Moi si ...

    Les limites sont faites pour être dépassées

    J'ai dépassé les miennes depuis longtemps

    Et bien trop tôt.

    Et le corps sans l'harmonie

    D'un enseignement n'a pas suivi.

    Il y a un tel décalage entre

    Ma force intérieure et ma force extérieure

    Que j'ai atteint une autre limite ...

    Celle du vide...

    Séparant mon corps de mon esprit,

    L'espace s'est glissé entre les deux...

    L'O2LA me fait signe

    Et se joue de moi...

    Le devoir ne sait plus qui il est,

    Les scrupules se font la guerre,

    La vérité supposée se cache,

    Les mensonges font surface,

    La douleur m'assassine,

    L'amour me repêche,

    Mais je sens oui je sens,

    Mes forces m'abandonner...

    Ce combat perpétuel ne peut continuer.

    Depuis ma naissance j'observe

    Les forces extérieures s'amuser,

    Dans le passé les forces spirituelles

    Maintenant le manifeste réel

    ...

    Mais je ne peux, ni ne veux,

    Favoriser l'un d'eux.

    Je suis un vide au milieu de moi-même...

    Et l'espace veut ma place ...

    Si l'O2LA n'a pas de limite,

    Moi si...

     
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