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Par VasyZeroseth le 30 Juin 2011 à 20:01
La vie m'est pénible, j'aimerai y mettre fin,
Il n'est que dans la recherche de Dieu
Que je trouve la force de continuer.
A chacun de mes pas je m'enlise vers ma fin
Mais le trépas de mes pas n'est qu'un lieu,
Duquel, je ne saurai que me désavouer.
A celui qui m'assure d'un écrit, d'un destin
Je répond que si ma fin, ma faim de Dieu
Est destin, alors je lui suis dévouée ...
S'il me répond que Dieu n'est pas destin,
S'il me répond que destin n'est pas Dieu,
Je lui dirai occupe-toi de ta destinée ...
Car de mon mystère elle n'est pas dessein,
Mais puisque tu as trouvé de tes vœux
La serrure, cherches en donc la clé.
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Par VasyZeroseth le 30 Juin 2011 à 20:01
Mon esprit est ouvert
Il est univers
Sans aucune frontière
Il se heurte à la terre
De ceux qui me sont chers
Et mon cœur de se défaire
De son égoïste matière
Et mon esprit libertaire
De creuser le cimetière
Des sentiments grégaires.
Liberté tu m'es chère,
Tu es ma chair.
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Par VasyZeroseth le 30 Juin 2011 à 19:56
Ma vie se meurt
Au pied d'un leurre
De ma naissance un dur labeur,
De mon chemin des heures,
Des années de peur,
De ma confiance au déshonneur,
De ma passion, des pleurs,
De mes amours, de mon cœur,
De ma vie cette erreur...
Ma vie se meurt
Au pied d'un leurre
De la mort point de peur…
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Par VasyZeroseth le 30 Juin 2011 à 19:49
Les mains chemins de mes dessins
Perdus au sein de mes desseins
De mes demains sans les deux mains,
Que médecin de mes deux seins
S'inquiète de mes demains...
Les maints chemins de mes desseins
Perdus au sein de mes dessins
De mes deux mains sans lendemains,
Demain sera de mains de maître du destin
La fin du trop long chemin carmin.
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Par VasyZeroseth le 30 Juin 2011 à 19:47
Je sens la vie me quitter.
C'est un sentiment étrange que cette "vivance" parallèle à la substance, spectatrice de la déchéance, détachée de l'existence.
Dans un glissement inexorable, elle s'éloigne pour m'offrir le sommeil du monde.
J'inspire mes amis, je respire mes amours, j'expire la vie, j'aspire à la nuit du repos défini de l'éternité infinie.
Nos chemins se séparent, je suis celui de nul part qui m'attire comme un phare vers les rivages du hasard où rien n'est plus bizarre.
Enfin j'irai gravir la dernière colline. Celle d'où l'on voit les chemins du monde, où tous les rêves se fondent.
J'abandonnerai l'habit de clown au gré du vent de folie des passions inassouvies et j'irai me perdre dans l'oubli, loin d'ici, très loin d'ici ...
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